La Révolution des Fourmis

Note de l'auteur:

Ce livre a été écrit après l'échec des Thanas. L'idée était de faire un manuel pour faire la prochaine révolution. Une révolution qui ne fait pas couler le sang mais qui utilise internet. Pour que les idées soient jugées sur leurs valeurs et non sur l'apparence ou le statut de celui qui les émet. Les Fourmis ont un système où les idées circulent de manière fluide. Internet aussi. Donc j'ai pensé si la révolution communiste c'est "les soviets plus l'électricité" la Révolution des Fourmis c'est "les individus plus internet".

C'est mon préféré dans les trois, je l'adooore hihi. Une révoution sans effusion de sang...

une revolution qui aurai pu aboutir à beaucoup plus...mais ceux qui ont un esprit fermé ont tout fais pour la renvoyer dans les ortis

Moi aussi c'est mon préféré de la trilogie

Comme les deux autres tomes, j'ai aimé cette fourmis 103 683° qui part à l'aventure. Il n'y pas mieux que ce livre (je parle aussi bien pour les deux premiers tomes) pour voir, découvrir, s'ouvrire sur une autre façon de perçevoir le monde qui nous entour. Encore merci pour ce tableau de maître.

j'adore, c'est vrai que l'on sait pas vraiment où on va. Les détails sur la vie de la fourmilières sont très précis et le rapport humain/formis et explicite

Je suis en plein dans la lecture de La Révolution des fourmis, le dernier Werber que je n'ai pas encore lu, et je dois avouer que certains éléments me laissent assez indécises. Notamment, je trouve que pour l'instant, Julie entretient une haine assez étrange vis-à-vis de l'école et de l'éducation ; je suis d'accord qu'il faudrait quelque peu changer les mentalités, qu'une révolution progressive et non-violente est un bel idéal, mais l'image du lycée que nous renvoie Bernard Werber dans ce livre est assez négative.
Regardez d'abord comment il présente la classe de Julie la première fois : les bons élèves présentés comme des fils à papa, des lèche-culs et des cons d'extrême-droite devant, et puis après les faibles qui vuelent leur ressembler et derrière les marginaux. Je trouve cette vision totalement caricaturale !
Ensuite, je ne comprends pas bien ou BW veut en venir avec la prof de maths qui se moquent de Julie, et celle-ci qui lui réplique que les maths ne servent qu'à endoctriner les jeunes.
Enfin, Julie semble dénigrer pas mal de choses qui pour moi reste sensée. D'accord, l'école aurait besoin d'un coup de révolte, pour détendre un peu ses méthodes et ses idées peut être un peu névorsée, mais quand même.
Non, pour l'instant je suis sceptique, mais je n'ai aps fini le livre.
Sinon, je le trouve très bien, et cette idée de révolution par internet est assez séduisante. Mais le personnage de Julie m'énerve beaucoup !

bah en même temps dans la vraie vie tu penses vraiment que c'est SI différent ??? dans nos classes ... mais bon ...

Excuse-moi mais oui, en tous cas dans toutes les classes où j'étais, oui c'était différent. Tous les bons élèves ne sont pas des cons réacs fils à papa, c'est un à-priori totalement stupide, et je ne dis pas cela parce que je fais partie des bons élèves. On dit souvent que dans les classes, ce sont les cancres les plus malheureux, mais je epux te dire que els bons élèves ont aussi la vie dure. Les exclus, c'est plutôt eux. Après...
J'ai avancé dans la lecture de La Révolution des Fourmis et j'ai changé d'avis. Bernard Werber ne dénigre pas l'éducation, il veut juste la changer, l'améliorer, mais il conçoit qu'elle est une force. Et puis, c'est si beau une révolution non-violente, même si elle ne marche pas !